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Une campagne de Total War avec la Haute-Reine Khalida m’a donné une leçon de vie existentielle: je me comportais comme une stagiaire dans un poste en pleine responsabilité…
Selon le Conseil national des évangéliques de France au moins 1000 pasteur devront être formés dans les dix prochaines années pour renouveler le corps pastoral évangélique. L’organisation précise que si ce chiffre est important, il s’agit pourtant d’une « estimation basse ».
Dans cet article je résume la description proposée par Jean-Paul Willaime du pasteur comme clerc-docteur dans "Profession : pasteur".
Le rôle de la pasteure est de se faire témoin et interprète de la relation dynamique entre ces trois éléments qui forment le croire – Cuvillier renvoie notamment à l’ouvrage de Pierre-Luigi Dubied, Pasteur : un interprète (Genève, 1990).
Sans surprise, c’est toujours Dubied qui reste la référence. Parce que c’est bien, tout simplement.
Mais qui en a fait quoi depuis 30 ans?
Processus à implanter et à suivre pour recevoir un homme comme ministre de la Parole dans l’Église réformée du Québec
Je me demande s'il faut en rire ou en pleurer...
Faute de reconnaissance institutionnelle, le théologien geek neuchâtelois Nicolas Friedli met fin à trois aventures web. Depuis la semaine passée, etudierlatheologie.ch, devenir-protestant.ch et parpaillot.ch ont disparu de la Toile. Interview
Une archive intéressante au vu de l’actualité sur la pénurie de pasteures et pasteurs en Suisse romande.
Dans moins de dix ans, près de la moitié des pasteurs romands seront partis à la retraite. Si des solutions existent, notamment grâce à l’engagement de laïcs, les Églises réformées font face à une crise de la relève, la disparition de la figure du pasteur n’était pas sans effets pour la société.
Tiens, c’est étonnant. Je connais un type qui pensait qu’il fallait absolument continuer les efforts (et les amplifier) sur etudierlatheologie.ch quand le site a été abandonné par les facultés et les Églises.
Il a essayé un moment mais n’a pas été suivi. Pourtant, le site marchait bien. Tout était là… mais personne n’a fait de lien pour soutenir la démarche.
Je trouve les réponses apportées dans l’article très insuffisantes. Un métier (ou un ministère), ça se présente correctement. Mais entre les ministres en poste qui ne parlent que de burn-out (et ne disent rarement leur satisafaction professionnelle) et les fiches techniques, on est loin du compte…
Le corps de Christ souffre d'infirmités extrêmement diverses, mais la pénurie de ministres fidèles, c'est l'atrophie au cœur de l'Église. Qui n'en éprouverait une sérieuse alarme? Et qui s'en occuperait avec plus de sollicitude que les sentinelles de la maison de Dieu?
Bien que nous ayons actuellement le moyen de combler les vides dans notre corps pastoral, nous ne pouvions demeurer indifférents devant un fait qui décime plusieurs clergés et nous menace presque tous d'appauvrissement; ayant que le mal soit plus avancé et se rie de nos efforts, il nous a paru que c'était le moment de guérir la pénurie des ecclésiastiques où elle existe et de la prévenir où elle n’existe pas.
À cet effet, nous devons commencer par un travail de diagnostique, en recherchant les causes du mal.
Si le Seigneur exauce la mère qui lui de mande un fils pour le service des autels, refuserait-il à notre société les enfants spirituels qui manquent à nos facultés de théologie? Efforçons-nous de réveiller par tous les moyens en notre pouvoir l'esprit de consécration dans les familles chrétiennes; vaquons à notre ministère avec assez de zèle , d'humilité , de bonheur et de sainte indépendance, pour le rendre enviable au suprême degré; surtout soyons fidèles à cultiver chez nos catéchumėnes l'amour pour le Seigneur et le dévouement à son Eglise.
À titre d'anecdote en ce jour où Le Temps publie un article sur la pénurie pastoral à venir en Suisse romande. Ces extraits proviennent d'un texte d'Henri Junod écrit en 1864...
Dans moins de dix ans, près de la moitié des pasteurs romands seront partis à la retraite. Si des solutions existent, notamment grâce à l’engagement de laïcs, les Eglises réformées font face à une crise de la relève. La disparition de la figure du pasteur n’est pas sans effets pour la société
Comme je ne suis pas abonné au Temps, je n'ai pas lu cet article.
Je me souviens seulement:
- que quand j'ai sauvé etudierlatheologie.ch de la déshérence, il n'y avait pas grand monde pour penser à la relève
- que j'ai essayé de lancer devenir-pasteur.ch, il n'y avait pas plus d'enthousiasme (les ministres en fonction préféraient parleur de leur burn-out...)